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LES SENSTIMENTS DU DEDANS

LES SENSTIMENTS DU DEDANS
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13 novembre 2005

le respect est un mot sacré chez les jeunes.Le

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le respect est un mot sacré chez les jeunes.
Le respect est une façon de montrer son importance au sein d'un lycée, d'un quartier ou d'un groupe.
"Si tu me respecte, alors je te respecterais!"
Cette phrase revient souvent dans notre société.
Mais qui doit respecter qui?
Et, bien je dirais qu'il faut d'abord respecter l'autre avant de se faire respecter.
Ainsi, si tu respectes l'autre et que celui-ci te respecte, alors tout le monde est respecté.
Mais prenons un exemple très présent dans notre société actuelle.
Les jeunes veulent que les adultes, qui ont plus de pouvoir, les respectent.
Mais les adultes ne veulent pas respecter les jeunes qui ne les respectent pas.
Logique non?
Donc en loccurence, il faudrait que les jeunes respectent leurs aînés pour que ceux-ci les respectent.
Vous me suivez?
Bref, si le fait d'être respecté donne plus d'importance aux jeunes, moi je dis qu'ils ne respectent pas le respect.
C'est à dire, qu’on n’a pas à être plus fort que les autres.
On est tous égaux.

Donc RESPECT!!

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13 novembre 2005

Elle est là dans mes veines, se promène contre

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Elle est là dans mes veines, se promène contre mon gré d'un bout à l'autre de mon corps.
Elle me ronge, me détruit à petit feu.
Cruelle et mesquine, chasseuse et voyante, elle hante mon coeur.
Se débarrasser d'elle il m'en est impossible.
Elle et moi, nous croisons chaque jour, sans un bonjour, sans un au revoir.
Toujours indifférente, elle continue son chemin et moi le mien.
Souffrance, tristesse, malheur, elle ne s'en soucie point.
Toujours à l'avant-garde, elle arrive sans crier gare.
Pour elle la vengeance est un plat qui se mange froid.
Ce coeur, qui était si doux et chaud, s'est transformé en un coeur sourd et dur, froid et insensible par sa faute.
Elle est le mal en personne, le diable au corps, elle endoctrine mon âme.
Comment résister à cette tentatrice?
Elle me questionne, me met en doute.
Tous ces rires si chaleureux qui étaient, se sont transformés en eau de cascade.
Des serpents et des rats sortent de ma bouche, entourant mes mots de satin, les changeant en épines de ronces.
Toujours présente, elle me change mes idées et mon comportement.
Elle m'a mise en esclavage, m'a prise dans sa toile.
Peut-être est-ce mon destin que de subir ces changements de temps?
Je ne sais point.
Peut-être s'est-elle incrustée dans ma vie mais elle ne changera jamais ma raison de vivre : ma mère.
Maintenant je me suis fait une carapace et elle coulera comme la rosée du matin : LA DEPRESSION.

13 novembre 2005

Ma seule raison de vivre essayer de me la dire

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Ma seule raison de vivre essayer de me la dire

Qui me fera vivre, dites moi

Je verrais bien la fin venir

Pas une fleur, pas de pleurs je ne veux au moment de l’adieux

Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire

Je me déteste et je suis seule à crever

Je souffre en douce, j’attends ma peine

La peine est mon amie tout mon être chavire

J’ai comme une envie de me voir me foutre en l’air

Un long suicide acide

J’ai du sang sur mes doigts

Mon corps étendu là, je vous rejoindrais peut-être

Je vis hors de moi, je m’abîme d’être moi-même

Je m’éloigne du monde brutal, cruel et insensible

La haine et le mépris y règnent.

Moi qui vis solitaire, je vois les gens mais eux ne me voient pas

Ils n’entendent pas la voix de mon cœur qui se meurt

Des larmes de sang coulent eu cœur de mon âme

J’ai plus envie de  me battre

Ne me secourez pas, abattez moi pour ne plus souffrir

Laissez moi mourir, partir…

13 novembre 2005

J’en ai marre de vivre malgré ma famille qui

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J’en ai marre de vivre  malgré ma famille qui m’aide

Je n’en peux plus de cette haine qui hante mon cœur

Cette rage montant au cerveau, cette folie meurtrière

Fulminant et bouillonnant dans mes veines

Ces mains si violentes qui m’angoissent

A chaque fois que je touche quelqu’un ou quelque chose

Pourquoi vivre, quand on veut tout détruire autour de soi

Mon cœur qui bat à tout rompre, semble me lâcher

Ma cervelle qui me commande comme un dictateur

Me demanderait de tuer

Mes gestes me trahissent en faisant des choses incomprises à mon entourage

Ces frissons me parcourant l’échine comme pour prévoir des horreurs

Cette bête qui me ronge l’intestin lorsque j’affronte le monde extérieur

De toute façon je ne pense pas que quelqu’un irait mettre des fleurs sur ma tombe

Je pense au contraire que tout le monde sera content que je périsse

Que je moisisse dans cet air à l’haleine fétide

Rongé à petit feu par les vers et autres invertébrés.

13 novembre 2005

Ces gens qui vous jugent sur l’apparence physique

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Ces gens qui vous jugent sur l’apparence physique

Sans connaître la personne et qui vous blessent

Comme des coups de poignard vous transperçant les entrailles

Avec ces mots sortants de cette bouche

Comme des rats et des vipères

Cette bestiole vous rongeant à petit feu les intestins

Sans se préoccuper de votre douleur

Cette rage montant au cerveau et bouillonnant dans vos veines

Cette folie meurtrière en vers et contre soit même

Parcourant tout le corps d’un bout à l’autre

Commandant le plus simple des gestes du bout de vos doigts

Cette pensée de mourir qui vous soulage

En vous faisant croire que la liberté et la fin de votre souffrance

Est là, au bout du chemin.

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13 novembre 2005

Cette bouffée de chaleur qui vous étouffe à en

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Cette bouffée de chaleur qui vous étouffe à en mourir,

Cette rage qui vous monte dans tout le corps

Comme si un produit toxique était injecté

Et vous chauffait les neurones

Cette fatigue incessante qui vous fait vous effondrer

Sur la table

Et cette musique qui vous semblait si douce auparavant

Qui vous déchire la peau aujourd’hui

Ces yeux qui pétillaient de joie

Deviennent ensanglantés

Laissant des larmes de sang vous mutiler le visage.

13 novembre 2005

Résurrection Tel est mon titre C’est ma raison

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Résurrection

Tel est mon titre

C’est ma raison

C’est mon vivre

Je me dois de rester

Je me dois de ne pas replonger

Solitude, tristesse

C’est une brume, c’est le reste

Des hauts et des bas

C’est les mots de mes bras

Partir ou rester

C’est finir, oublier

13 novembre 2005

Aujourd’hui J’ai faim J’en suis triste Je n’en

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Aujourd’hui

J’ai faim

J’en suis triste

Je n’en vois pas la fin

Je suis boulimique

Je me fais vomir

C’est pas comique

J’suis en train d’en souffrir

Oui j’en souffre

J’suis malade

J’me bourre

C’est pas banal

Je voudrais m’en sortir

De cette maladie

Qui me fait pourrir

Toute ma vie

13 novembre 2005

On s’est rencontré dans cette maison folle Tout

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On s’est rencontré dans cette maison folle

Tout d’abord je t’ai parlé

Mais tu ne m’as pas répondu et j’en étais peinée

Puis tu nous as rejoint dans le groupe des jeunes

Alors je me suis mise à sourire

Le clan s’est éclaté et je me suis rapprochée de toi

J’étais tellement bien à tes cotés

Mes sentiments à ton égard se sont renforcés   

Je me suis mise à t’aimer

Tu étais sans cesse dans mes rêves et mes pensées

J’étais vraiment amoureuse

On s’est quitté de cet endroit maudit

Je t’appelais, tu me parlais, tout allait pour le mieux

A part que tu ne voulais pas de moi

Les jours, les semaines, les mois passaient sans que je pleure pour toi

Mais tu ne ressentais rien pour moi

Un jour tu m’a dit que tu voulais sortir avec moi

J’étais folle de joie malgré que je savais bien que se serait sans ton amour

Mais j’ai accepté car moi je t’aimais

Puis je me suis rendu compte que ce n’était plus possible

Tu habitais loin, tu ne m’appelais pas, on était malade tout deux

Rien n’allait plus

Donc j’ai décidé de te quitter

Je t’ai souhaité le meilleur pour toi

Puis j’ai raccroché soulager que tu ne l’ai pas mal pris

Encore aujourd’hui je pense à cette histoire

Que je voyais idyllique à mes yeux

Ce qui n’était pas évidemment

Mais je t’aime toujours et tu seras dans mon cœur

Pendant encore un bon moment

Morale : le dicton « L’amour rend aveugle » est bien vrai

13 novembre 2005

LA LIBERTE

t_160040994_1_Je n’en plus, j’ai mal tellement mal dans mon cœur

Je souffre mais personne ne veut le voir

Je voudrais tellement mourir pour pouvoir me libérer de tous ces maux

C’est comme si un poignard me transperçait le cœur

Je sens toutes ces mains s’accrochées à moi

Pour m’amener dans l’enfer des Hommes

Mon âme sombre dans les ténèbres infestées de vermines

Qui me rongent la peau et les os jusqu’à la moelle

Je ne  sais plus qui je suis, je ne sais plus pourquoi je vis

Je ne comprends plus rien, je suis là sans être présente

Je m’évade ailleurs dans mes délires, mes désillusions

Mon corps plonge peu à peu dans cette mare de sang rouge vif

Ce sang qui est le mien

Il me brûle, bouillonnant en moi de colère

Et de ce désir de partir loin d’ici

Je veux être enfin libre, je veux crier au monde entier mon mal être

Je veux qu’on m’épargne de cette souffrance ancrée en moi

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